
Le temps passe vite. On perd de vue certaines personnes durant des mois, des années, une décennie parfois (valable pour les plus de 10 ans). Puis soudain, tout le monde refait surface. Charlène avec qui j'ai pris un verre dans le Marais, Andrine qui arrive ce vendredi à Paris pour l'enterrement de vie de jeune fille à sa cousine. Sandra rentrée du Brésil et qui va faire une halte dans la capitale, regarder le feu d'artifice du 14 juillet puis s'envoler à nouveau. Christine qui a fêté ses 25 ans face à la montagne, au milieu de nulle part.
Cet été, je pars à Barcelone. L'endroit que tous les Toulousains ont visité. Sauf moi. J'imagine que ce n'était pas assez exotique alors que je vivais dans le Sud.
Et sinon, pourquoi se priver de garden party cette année?
Pour montrer au peuple que la haut, au sommet de la hiérarchie on connait aussi le sens du mot « sacrifice ». Mais pendant ce temps, les mirages s'entrainent et me déconcentrent alors que je travaille. Des drapeaux tricolores ont été suspendus le long des champs Elysées et les feux piétons retirés du milieu de la route pour ouvrir la voie aux chars d'assaut.
On devrait complètement supprimer le défilé si on voulait générer de réelles économies.
Mais que serait-on sans parade et feux d'artifices? Sans tambours et galons?
Encore une fois la preuve qu' « un roi sans divertissement est un homme plein de misère ».
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