lundi 9 août 2010

02.08.2010


Extraits de mon journal de bord.

Elody, Perrina, Barcelona :

02.08.2010, 9h, Toulouse.

Nous sommes des boulets : nous avons attendu le bus et réalisé à la dernière minute qu'il fallait s'enregistrer à l'accueil. Ici, le temps est gris mais nous lisons "Psychologies" contenant de nombreux tests.

16h:

Toujours dans le bus et pas arrivées. Il a plu averse tout à l'heure, nous fanstasmions sur la plage...

Le chauffeur n'a fait un arrêt qu'à 14h pour manger et finalement pisser à Figueres (en plus c'était 50cts).

23h:

Après 8h de route nous sommes finalement arrivées à la gare de Barcelone Sants. Non loin de là se trouvait un hôtel où Perrine avait séjourné lors de son précédent passage à Barcelone. Nous avons pris le métro. Si les rames sont climatisées, les couloirs sont moites et paraissent interminables. Nous avons trouvé sans mal l'auberge de jeunesse qui est vraiment à deux pas de la casa Batlo. La porte était immense et l'escalier en colimaçon. Après notre installation et une douche, nous sommes parties à la conquête de la ville.

Nous avons marché sur les Ramblas en passant par la place de Catalunya. Les façades sont très belles, avec du caractère. Les taxis, les sirènes, les rues larges, les feux tricolores peints en jaune ont un petit air new-yorkais.
Sur les Ramblas, à 19h30, fleuristes, animaleries et magasins de babioles étaient encore ouverts. Et les automates ainsi que les dealers étaient aussi fidèles au poste.

Nous nous sommes aventurées dans une ruelle et avons débouché place St Augustini. On a pris un coca en terrasse tout en sélectionnant un resto dans la gamme "bon marché du routard". Nous y sommes allées en passant par des rues étroites où des gens conduisaient des vélibs barcelonais : je les aime bien, ils sont rouges avec un guidon haut à la Harley Davidson.

Arrivées devant le resto, il faisait très classe mais les prix étaient très abordables. C'était gras mais pas trop mal et le cadre était agréable. Une fois la pluie calmée, nous sommes rentrées.

A l'auberge il y a beaucoup de Français. Un Japonais doit être malade; il est toujours au lit.

La fiesta, ce ne sera pas pour ce soir, nous avons besoin de récupérer.

Minuit:

Le Japonais de la chambre 503 s'est avéré être Canadien. Il a de la fièvre. Perrine lui a donné des médicaments. Il faut bien être solidaires...

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